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Les arts
Peinture
la mort du picador de Goya |
Gustave Doré : La Tauromachie de Gustave Doré, une série de trente cinq dessins et six lithographies exécutés à partir de 1854, pour illustrer « Voyage aux eaux des Pyrénées » d'Hippolyte Taine, complété par les gravures destinées à illustrer le « Voyage en Espagne » du baron Jean Charles Davillier, œuvre publiée de 1862, à 1873.
Édouard Manet, tauromachies et autres thèmes espagnols par Mario Bois. Editions Plume. 1994
Henri de Toulouse-Lautrec : « La Tauromachie », illustration de couverture pour la reliure de La Taumaquia de Francisco de Goya par René Wiener, (1894). Grand admirateur de Goya, Toulouse-Lautrec, appréciait les spectacles de tauromachie et il assistait très souvent aux corridas données dans les Arènes de la rue Pergolèse à Paris.
Vincent van Gogh a peint le public et les arènes d'Arles en 1888. Le tableau se trouve à Saint-Petersbourg
Orazi, peintre français de l'École de Paris : Corrida, œuvre présentée au salon de mai 1949
Pablo Picasso:
Toros y toreros, éditions du Cercle D'art, 1961 avec un texte sur la corrida de Luis Miguel Dominguin, et une étude de Georges Boudaille. Une édition de luxe tirée à 150 exemplaires comporte une suite de 15 dessins sur papier Arches et une lithographie.
El carnet de la Tauromaquia, illustrations d'extraits du texte de Pepe Hillo sous forme de carnet de poche, Éditions Gustavo Gili, Barcelone, 1963. Le même ouvrage est paru en édition courante au Cercle d'art
Claude Viallat.En 2008, la ville de Nîmes a édité trois livrets sur Claude Viallat. Deux d'entre eux sont consacrés à la tauromachie. Il a également réalisé les affiches des ferias de Nîmes 1986 et 2008.
Littérature
Ronda, Andalousie où se trouvent les plus anciennes arènes d'Espagne |
Laure Junot d'Abrantes; Mémoires de Madame la Duchesse d'Abrantes, Volume III, éditions Hauman, Bruxelles, 1837
Théophile Gautier, Voyage en Espagne, paru d'abord en 1840 sous le titre Tra los Montes, publié de nouveau sous le titre français en 1843. édition Charpentier, 1859.
Alexandre Dumas, De Paris à Cadix ou Impressions de voyage, De Paris à Cadix, 1847, Garnier frères, Paris.
Jean Charles Davillier et Gustave Doré, Voyage en Espagne, (1862) réédition Hachette-Stock, 1980
Vicente Blasco Ibáñez,Arènes sanglantes, 1908. Roman.
Henry de Montherlant, Les Bestiaires, roman, 1926.
Ernest Hemingway, Mort dans l'après-midi , 1932, publié en France par Gallimard, collection Folio. Considéré comme une véritable « bible de la tauromachie » et l'invention d'un nouveau réalisme.
Federico Garcia Lorca, Chant funèbre pour Ignacio Sánchez Mejías(LLanto por Ignacio Sánchez Mejías) publié en espagnol en 1935, traduit en français par R. Simon en 1945, réédition Actes Sud, 1992, (ISBN 2868698646).
Jean Cocteau, La Corrida du 1er Mai, 1957, réédition Grasset 2003
Ernest Hemingway, L'été dangereux , 1960, publié en France par Gallimard, collection Folio.
Fictions
« Les Amours de Carmen » (The Loves of Carmen) est un film américain de Charles Vidor,1948, avec Rita Hayworth (Carmen, et Glenn Ford (Don José).
« L’Instant de vérité ». Film de Francesco Rosi tourné en 1965, avec le matador « Miguelín » dans son propre rôle.
« Carmen ». Adaptation au cinéma de l’opéra de Georges Bizet. (1984) Réalisé par Francesco Rosi, avec Julia Migenes, Placido Domingo, Ruggero Raimondi.
« De sable et de sang ». Film de Jeanne Labrune sorti en 1987. Genre : La condition humaine. Traite des rapports ambigus entre un matador et son médecin.
« Heureux qui comme Ulysse ». Film de Henri Colpi avec Fernandel sorti en 1970. Genre : comédie tous publics.
« Parle avec elle »un film de Pedro Almodóvar, dans lequel une femme est torero.
« La Belle Histoire » de Claude Lelouch (1992).
« Que Viva Mexico ! » de Sergueï Eisenstein met en scène une corrida selon plusieurs points de vue, y compris celui du taureau (la caméra face au banderillero).
Documentaires
Aruzza |
La course de taureaux. Film documentaire de Pierre Braumberger, 1951, avec le concours d'Auguste Lafront (Paco Tolosa) et de Michel Leiris. C'est le premier documentaire expliquant les corridas ; aujourd’hui encore, il est considéré comme l’un des meilleurs, si ce n’est le meilleur.
Aruzza, la vie du torero mexicain Carlos Arruza, réalisé par l' américain Budd Boetticher en 1972, couleurs, 73 mn. Boetticher a obtenu un Oscar du cinéma pour une fiction sur la tauromachie : La Dame et le Toréador (1951 au cinéma|1951) qui présente de spectaculaires courses de taureaux.
Les Années Arruza film documentaire d’Emilio Maillé, 1998 , avec le témoignage de Budd Boetticher. 56 mn, productions, Canal +, Flach Film, Rumba . Sélection Festival de Munich, 1998.